En France, selon la sécurité sociale, un·e salarié·e meurt au travail tous les 3 jours. Ce ne sont pas les « risques du métier », mais bien les conséquences de la recherche par le patronat du profit maximum, au mépris de la santé et de la sécurité. Cette hécatombe se déroule avec la complicité du gouvernement qui organise une diminution des obligations de protections des salarié·es par les employeur·ses et affaiblit les moyens de contrôles.
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